Lucas

J’ai 19 ans et termine une DUT Carrières Sociales option animation sociale et socioculturelle.

 Ce défi est important pour moi puisque je pense que le sport est un outil pour chacun. La pratique de ce dernier est encore bien trop inégalitaire. Le cyclisme demande des capacités importantes mais ne doit pas être limité dans son accès. D’autant plus à la veille des Jeux Olympiques et Paralympiques 2024.

Ce projet est réalisé au profit de jeunes atteints de maladies ne pouvant que très peu pratiquer un sport. Ainsi j’espère sensibiliser le grand public avec ce défi en le partageant et en lui donnant un sens.

Coline

J'ai 21 ans et je viens de terminer ma 1ère année de Master en Ingénierie et Ergonomie de l'Activité Physique à Ottawa où j’étais en échange universitaire.

Passionnée de sport, de voyage et d'aventure, j'ai tout de suite eu envie de participer à ce défi d'autant plus qu'il est solidaire et nous permettra de lever des fonds pour l'association AT Europe. 

Cette aventure nous permettra de nous ouvrir sur de nouveaux horizons qu'ils soient sportifs, culturels ou sociaux.

Vincent

J’ai 31 ans et je suis éducateur territorial, à mi-temps et m'occupe de donner des cours d'EPS aux écoles primaires. Ami temps je dirige le service des sports de la ville de Bessancourt.

A côté de cela, je suis entraîneur et vice-président du club d'athlétisme de Taverny. Ce projet me tient à coeur car pour moi l'accès aux pratiques sportives doit être possibles à toutes et tous, quel que soit son handicap ou sa maladie.

En 2014, j'ai couru environ 1000 km de Strasbourg à Carnac, afin de récolter des dons pour l'association ELA. Une aventure sportive mais surtout humaine, à graver à jamais dans ma mémoire. Je suis certain que l'échappée à Buda’ en sera de même !

Léonore

J'ai presque 18 ans et je suis en première année de prépa ECS (économique et commerciale option scientifique).

Du 800 au 1500m en passant par les cross, cela fait maintenant pas mal de temps que je cours. A force de faire des tours de piste, il faut croire que l'idée de s'échapper un peu plus loin m'a séduite.

Courir ou pédaler, finalement, on le fait presque pour les mêmes raisons. Pour sentir le vent sur son visage, pour voir le chemin qui défile devant et celui qui s'étire derrière. Pour les sourires et les fous rires d'un groupe soudé.

Sauf que cette fois, et c'est ce qui, je pense, rend ce voyage si exceptionnel c'est que, du tartan familier aux rives lointaines du Danube, chaque coup de pédale transforme la chance que nous avons de sentir nos muscles s'activer dans l'effort en une chance pour l'avenir de ceux qui ne l'ont pas aujourd'hui.

Bartolomé

J’ai 21 ans et je suis en L1 STVE. Ce qui me motive dans ce voyage, c’est l’aventure et le fait que nous n’avons pas l’occasion de faire ce périple quand on veut et en plus entre amis.

C’est aussi une belle expérience personnelle, au profit d’une association, lorsque l’occasion se présente, il faut le faire sans hésiter, je trouve que c’est vraiment un projet ambitieux qui s’inscrit dans une vraie démarche de solidarité sportive à la veille des JO 2024 et je suis heureux d’y être convié.

Thibault : J’ai 17 ans et j’habite à Saint prix. Je suis en classe de première scientifique au lycée louis armand à Eaubonne.

J’ai décidé de participer à ce projet car celui-ci représente un défi sportif, une expérience à vivre entre amis, la découverte de l’Europe ainsi qu’une expérience unique dans une vie. Cette cause me tient à cœur car elle permet d’aider les enfants atteint d’une maladie qui les réduit dans leur épanouissement et vivre une vie insouciante. Pour moi, le sport est un plaisir inconditionnel et j’ai l’espoir que tout enfant puisse s’y réaliser.

Ce défi sportif représente aussi le dépassement de soi-même, la solidarité, l’entraide dans le groupe : « seul on va plus vite, ensemble on va plus loin » alors direction Budapest !